Fayoum Ni ombre, ni lumière, aigu, il descend la pente du monde. Il s’est taillé un habit de terre, de forêts et de prés. Et cet habit est troué de vides. Comme la vie des hommes, dont son bec vert étire les fils pour les rompre. Partager :Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)